Supporters jaunes et noirs, bonsoir!!! 

Demain, nous serons le samedi 22 février! Et que célèbre t-on le 22 février? La naissance de Julius Erving, certes, un joueur de basket-ball né en 1950 et ayant montré un niveau correct dans les années 70"...  

Oui mais pas que! Car en 1693 naquit l'officier de marine Charles-Félix de Poilvilain de Cresnay, plus connu sous le sobriquet de "Comte de Cresnay"! 

Souvenons-nous, le jeune Poilvilain est issu de l'une des plus anciennes familles aristocratiques de Basse-Normandie, dans le diocèse d'Avranches. Pour rappel, les Poilvilain sont liés aux Costentin de Tourville , et aux Bricqueville de La Luzerne (Des sacrés guenillles en soirée d'ailleurs, ces Bricqueville de La Luzerne!) Bref, son père, Georges de Poilvilain, marquis de Cresnay, était capitaine au régiment Vermandois et avait épousaillé la fameuse Gaude de Montaigu, descendante de la famille bretonne de Rosmadec. 

Mais ce qui nous intéresse, c'est que notre Charles-Félix de Poilvilain de Cresnay, qui était un sacré bon marin, avait pris tout par un coup l'idée d'attaquer Neuville/Saône par le fleuve... (info non vérifiée) Bref, après avoir perdu sa carte des plus grands fleuves de France, il s'est retrouvé dans le Conan. Ne pouvant plus avancer et ayant carrément la dalle, il utilisa le bois de son bateau pour fabriquer des drôles d'échelles (avec un seul axe central et des barreaux sur les côtés) afin de choper des cerises sur les arbres (des reverchons paraît-il, il était pas difficile le Charles-félix...). Il venait tout simplement d'inventer l'écharras et ainsi d'orienter toute l'économie bessenoise vers la cerise! Bref, au final, il abandonna l'idée d'attaquer Neuville mais quelques siècles plus tard, c'est à dire demain, nos seniors garçons ont l'occasion d'achever la quête de Poilvilain!  

Nos gars reçoivent Neuville demain soir à Jean Guilloud à 20h30! Le hasard fait bien les choses!!!

Soyez nombreux à venir les encourager!!! (Ce sera d'ailleurs le seul match de la journée)

Bonne soirée les ami(e)s et à demain à Jean Guilloud.